du latin galea ( casque pour la forme de l'anthère ( partie remplie de l'étamine , organe mâle de la fleur où se forme le pollen )
Distribution :
Mexique Nicaragua, Colombie, Pérou, Venezuela Guyane française, Brésil.
Description :
Le genre sympodial regroupe 18 espèces comprenant des terrestres que l'on rencontre dans les savanes . Des épiphytes plus particulièrement dans le bassin amazonien ,avec des pseudobulbes allongés fusiformes, dont les tiges sont souvent cylindriques et en forme de canne , constitués de plusieurs entre-nœuds , avec des feuilles distiques ( disposées sur 2 rangs opposés le long de la tige )
l'inflorescence terminale fleurit plusieurs fois de suite , elle porte de 1 à 20 fleurs résupinèes, de taille moyenne 4 à 6 cm . Il est donc important de ne pas les tailler .
Elles se caractérisent par la configuration typique du labelle en forme de cornet très grand, prolongé par un éperon .
Les sépales et pétales sont sensiblement identiques disposés soit en étoile autour du labelle , ou encore tous orientés vers le haut donnant à la fleur une impression auréolée.
La floraison intervient souvent au printemps et en été .
Cette espèce de petite taille , aux fleurs peu colorées est principalement originaire de Colombie et du Venezuela .
Culture:
Comme beaucoup ils aiment être cultivés en pot serrés en tempéré / chaud
ils ont besoin de forte luminosité , d'un substrat bien aéré assurant un parfait drainage .
du Grec erion ( laine) faisant ainsi allusion à l'aspect laineux des pièces florales , pétales et sépales entourant les organes sexuels .
Habitât naturel ;
Originaire de Malaisie, Java, Bornéo , Sumatra, du Sud Est asiatique, jusqu'en Nouvelle-Guinée, les îles Samoa, on les rencontre également en Nouvelle-Calédonie , ainsi qu'en Polynésie . Ils poussent dans des altitudes entre 450 et 1900 mètres .
Description :
Ce genre sympodial , épiphytes, parfois lithophytes ou encore terrestre comprend environ 400 espèces d'aspect très variable . Les tiges peuvent être en forme de canne, ou avec un pseudo bulbe bien développé.
Les fleurs sont souvent petites , très nombreuses aux couleurs plutôt pâles , blanc , beige, verdâtre, ou rosé , mais les bractées florales peuvent être plus grandes et bien colorées . Leur durée de floraison est moyenne , mais pour certain elle intervient plusieurs fois par an.
Ici l'aspect duveteux est bien mis en évidence.
Dans la construction de la pièce florale, les sépales et pétales sont similaires , le labelle trilobé peut sur certaines être entier . Le callus est peu développé donnant l'impression d'être absent . Le pied de la colonne est proéminent et forme une sorte d'éperon plus ou moins long .
Culture :
L'habitat étant très diversifié il est bon de bien se renseigner sur l'origine de chaque espèce. La plupart sont de culture facile , avec une grande demande d'humidité ambiante , un respect de leur besoin de période de repos très marquée . Une exposition en mélange d'ombre et de lumière.
Nota :
Plusieurs espèces de ce genre ont été transférées ans le genre Pinalia ( question a débattre avec les botanistes )
Certaines d'entre elles offrent à leur pollinisateur , une nourriture plus ou moins granuleuse , riche en amidon et en protéine . Un échange généreux et ultra performant .
Du grec épi ( sur ) et dendron (arbre ) en référence à son mode de vie le plus souvent épiphyte qui pousse sur les arbres
Habitât naturel :
On les rencontre dans toute l'Amérique tropicale jusqu'au nord de l'Argentine, au niveau de la mer jusqu'à 2000 mètres d'altitude.
Description :
le genre compte environ 1500 espèces épiphytes, parfois lithophytes , plus rarement terrestres .
Les plantes produisant des cannes très fines, parfois avec des pseudobulbes . Ils sont très diversifiés tant par la variabilité des formes de fleurs et des couleurs, leur feuillage est persistant .
Les fleurs sont habituellement résupinées, les sépales libres, parfois partiellement soudées. Les pétales latéraux semblables aux sépales mais souvent plus fins voir filiformes . Le labelle a 3 ou 4 lobes il est rarement entier .Il est soudé à la colonne qui est généralement très allongée.
Culture :
Les espèces qui composent ce genre sont originaires de milieu et d'altitude très différents par conséquent il est prudent de ne pas généraliser , et de bien prendre en compte le lieu d'origine . Cependant elles sont très tolérantes et s'adaptent facilement.
le plus sage lorsqu'on a un doute est de les cultiver en mode tempéré , en prenant soin de leur apporter une forte luminosité . Dans leur habitât naturel certaines d'entre elles vivent en milieux ouvert , parfois en plein soleil.
L'hygrométrie se positionnera entre 50% et 80% . Les arrosages réguliers du printemps à l'automne un peu plus espacés en période hivernale, La fertilisation se cale sur la fréquence de l'arrosage .
Multiplication :
Au moment du rempotage, par division, de préférence au printemps lorsque les jeunes pousses se développent .
D'abord classé dans le genre Epidendrum , puis Encyclia , le genre fut encore une fois divisé en sous genre et subi une révision dans laquelle certaines espèces se sont vues classées dans le genre Prosthechea.
Ethymologie : du grec Kukhos ( cercle ) en référence sans doute à la façon dont le labelle, dont la partie antérieure est tubulaire entoure la colonne.
Habitât naturel : Toute l'Amérique néotropicale autrement dit l'Amérique du Sud , l'Amérique centrale, jusqu'au sud du Mexique et au nord de l'Argentine.
Description : ce genre sympodial regroupe environ 160 espèces épiphytes ou lithophytes dans des zones ensoleillées.
Les pseudobulbes sont sphériques , ou en forme de poires surmontés de une à quatre feuilles fines, longues, coriaces.
Les hampes florales sont porteuses de nombreuses fleurs résupinées ( labelle orienté vers le bas ) .Les pétales et sépales sont libres assez similaires.
Le labelle trilobé peut être libre ou parfois partiellement soudé à la colonne . Les deux lobes latéraux sont souvent ailés et élargis à l'apex entourent plus ou moins la colonne.
Le callus est bien visible formé de deux crêtes , en différenciation avec Prosthechea où les fleurs sont le plus souvent non résupinées et le callus est en forme de coussinet épaissi.
Culture : La luminosité est primordiale, provenant des zones tropicales proches du niveau de la mer ils requièrent une culture en mode tempéré , tempéré/ chaud.
Un arrosage bien conduit régulier accompagné de fertilisation pendant toute la période de croissance du printemps à l'automne , et réduit en hiver . L'hygrométrie devra être assez élevée entre 60 % à 80% .
Rempotage/ multiplication : Lorsque les jeunes pousses se développent et que les racines présentent des extrémités actives , dont le bout prend une couleur vert clair tendre.
la mltification se fera en divisant les pseudobulbes, en prenant soin de les prélever au moins par deux ou trois , pour permettre à la plante de repartir en toute quiétude.
Nota : un séjour à l'extérieur pendant l'été leur sera très profitable.
du grec dendron ( arbre ) et keikos ( lèvre ) en référence sans doute à la forme proéminente du labelle .
Le genre est représenté par environ 120 espèces épiphytes , rarement lithophytes , de formes sympodiales, en forêts denses entre 300 et 2000 mètres , avec une saison pluvieuse, suivie d'une saison séche
Habitât naturel:
On les rencontre de Birmanie à la Papouasie, en Nouvelle Guinée et surtout aux Philippines ,en forêts denses entre 300 et 2000 mètres , avec une saison pluvieuse, suivie d'une saison sèche.
Dendrochilum cobbianum floraison 2017
Les plantes ont,des rhizomes rampants , avec des pseudobulbes parfois espacés ou à contrario regroupés en grappes.
La plupart d'entre-eux ont des inflorescences érigées , qui se courbent légèrement leur donnant ainsi un port que l'on qualifie de " pleureur distingués " avec pour certains en prime un parfum très agréable comme
ce Dendrochilum glumaceum classé parmi les plus parfumés.
La durée et la période de floraison est différentes suivant les espèces et peut se prolonger entre 3 et 5 semaines , pouvant intervenir au printemps, en été ou en automne.
Culture:
Ce sont des tempérés qui se plaisent à des températures jours entre 18° ET 25° nuit 16° 20° avec un écart de température de 4 à 5°.
Peu exigeants en luminosité ,
Arrosages
réguliers suivis de fertilisations une fois sur deux en période de croissance végétative .Dès que les pseudobulbes ont atteint leurs tailles adultes , réduire sans pour autant laisser le compost se dessécher.
Rempotage:
tous les deux ans au moment du démarrage des nouvelles pousses . Bonne culture , merci de votre fidélité.
Le genre dendrobium est représenté en nombre suffisamment important environ 1500 espèces pour que l'on puisse le qualifier d' incontournable, de ce fait il occupe une place prépondérante au sein de la grande famille des orchidées, sans avoir à craindre d'être concurrencé.
Ethymologie :
du grec dendron ( arbre ) et bios ( vie ) pour leur vie en épiphyte
Habitât naturel :
L'aire de répartition des dendrobium est particulièrement vaste , on les rencontre de l'Asie du Sud Est , de la Chine au Japon , aux Philippines, en Papouasie, Nouvelle Guinée , mais aussi en Australie, dans les îles du Pacifique , et en Nouvelle Zélande . C'est dire si leur milieu naturel est considérablement étendu , ce qui implique forcement une ampleur de contraste dans leur mode de vie .
Dendrobium Alexandrae
Certaines espèces des régions de l'Assam ( Nord Est de l'Inde ) qui vivent dans les arbres peuvent être exposés à des vents très froids .
Dendrobium bigibbum Dendrobium farmeri
Dendrobium pierardii
Certains dendrobium ce sont adaptés aux types de milieu dans lequel is évoluent , généralement les écarts de températures jour / nuit sont très marqués.
Le genre dendrobium est composé d'espèces hétérogènes principalement épiphytes , parfois litophytes, rarement terrestres. A leur adoption du fait de leur mode de vie très diversifiée, il est nécessaire de se documenter de façon approfondie si l'on veut maitriser leur culture.
Dendrobium ruppianum
Description :
Ce sont des plantes sympodiales , les pseudobulbes de formes et de tailles très variées, mais souvent en canne pendantes ou érigées
La taille, la couleur, l'aspect , des fleurs de quelques heures à 8 mois .
En dehors de cette grande diversité on notera que le sépale dorsal et les pétales sont libres, les sépales latéraux sont soudés au pied de la colonne . La labelle entier ou trilobé généralement grand , plus grand que les autres pièces florales, est soudé avec le pied de la colonne , et la base des sépales latéraux pour former un mentum , ou un éperon.
Le callus est constitué de crêtes longitudinales .
Culture :
Il est utile pour faciliter notre tâche d'orchidophile amateur ou averti de se positionner sur des paramètres spécifiques même si ces classifications comportent toujours une part d'arbritaire et de portée limitée.
Dendrobium unicum
serre chaude
On pourra ainsi distinguer : quelques exemples
Dendrobium de serre chaude
D. chaude tempérée l'été fraîche l'hiver,
D. chaude l'été froide et sèche l'hiver
.
D.serre tempérée
D. serre froide :
Le genre peut paraître compliqué il semble au prime abord que le choix doit se porter sur des espèces à qui l'on pourra offrir les meilleures conditions , et qui pourront s'adapter à notre mode de vie .
Le nom de ce genre comprend environ 25 espèces aux formes singulières , à la morphologie particulière. Présentés dans les expositions ils font toujours sensation.
Ethymologie:
du grec Kyknos ( cygne ) et auchen ( cou ) en référence à la morphologie très particulière du gynostème, long et courbé comme le cou d'un cygne. d’ailleurs surnommé l- orchidée cygne .
Habitât naturel :
réparties à travers toute l'Amérique tropicale ces plantes se rencontrent dans des forêts à climat chaud et humide , du niveau de la mer jusqu'à 600 mètres d'altitudes , avec des saisons de pluies et des saisons sèches très marquées .
présentent jusqu'au sud du Brésil notamment dans la région de Brasilla , mais aussi au nord de l'Argentine, ainsi qu'en Guyane Française .
Description :
Bien que leur port soit semblable aux Catasetum les Cycnoches ont des pseudobulbes allongés et de forme presque cylindriques .
Leurs feuilles caduques tombent avant le repos annuel .
Les hampes florales arquées ou, pendantes sont latérales et portent des fleurs résupinées ( labelle tourné vers le haut ) et unisexuées.
la fleur mâle a des pétales et des sépales libres et membraneux , la colonne est très longue et arquée avec deux pollinies et pas de stigmate .
La fleur femelle a des pétales et sépales libres plus épais , elle est moins colorée, sa colonne est courte et le stigmate est bien apparent ( stigmate partie sommitale du style , en principe dilatée dont l'épiderme est conçu pour recevoir le pollen et favoriser la germination).
On rencontre parfois des plantes avec des fleurs intermédiaires , mais elles sont stériles .
Culture :
Ils aiment la lumière sans excès, des températures chaudes pendant la période de végétation , tempérée pendant le repos avec toujours un écart jour/ nuit . En période estivale la culture en extérieur est possible .
Les arrosage seront abondants réguliers dés l'apparition des nouvelles pousses , puis réduits lorsque les pseudobulbes sont formés., et mise au repos jusqu'à l'apparition des nouvelles hampes florales .
L'hygrométrie entre 75%et 80% pendant la période de végétation active on peut baisser à 60% au repos
L'apport d'engrais au démarrage des nouvelles pousses azoté de préférence pendant 3 mois, puis privilégier un engrais riche en phosphore et potasse . Pas d'engrais pendant la période de repos .
Ce Cycnoches peut produire des gousses de 12cm qui peuvent contenir 3 700 000 graines. Imaginons un instant que toutes prennent vie , l'espace serait rapidement colonisé .
Les fleurs des orchidées sont hermaphrodites cependant 3 genres portent sur le même pied des fleurs femelles et des fleurs mâles , les cycnoches sont un de ces genres .
Les photos illustrant cet article sont empruntées à l'album Claudio Nardotto
Cet hybride intergénérique ( qui résulte d'un croisement de deux genres différents ) dont les ascendants sont Mitonia, Odontoglossum , Oncidium .
perpétue la mémoire de Sir Jéremiah Colman , éminent orchidoculteur britannique .
Leur mode de végétation sympodiales persistantes, à pseudobulbes . Certains ressemblant à des oncidium mais avec des couleurs vives bordeaux, jaune , acajou, violine, évoquant des papillons posés sur les longes tiges arquées .
d'autres arborent de grandes fleurs rondes , généralement tachetés les bords de pétales souvent ondulés .
La hampe émergeant des grandes feuilles vertes lustrées on pourra les couper après la floraison les suivantes n'auront lieu que sur les nouvelles pousses arrivées à maturité .
Leur floraison est très souvent spectaculaire avec des fleurs de grande variété de couleurs vives , intenses aux motifs voyants pouvant intervenir quasiment à n'importe quelle période de l'année, parfois même 2 / 3 fois l'an avec une longue durée de 4 à 6 semaines .
Leur culture se rapproche de celles des Odontoglossum , suivant les ascendant elle pourra se conduire en tempéré / froid . Celles ci dans l'idéal devraient évoluer entre 18° et 24°
C'est dire en même temps les difficultés qui pourront se rencontrer en région au climat chaud et sec l'été .
Les bassinages et l'hygrométrie ambiante devra être maintenue élevée afin de protéger leurs fines racines.
Gourmands en lumière leur feuillage sera un indicateur se parant de pourpre lorsque celle- est optimale .
Ces hybrides compacts conviennent parfaitement à un rebord de fenêtre . Un sujet adulte bien soigné peut supporter jusqu'à 50 fleurs simultanément d'où la possibilité de pratiquer une division à l'age adulte .De quoi faire plaisir autour de soi .
Le genre comprend une intéressante diversité de formes et de fleurs . les zones occupées sont très variables et de fait permettent à l'amateur d'orchidées de trouver l'espèce qui lui convient par rapport aux conditions qu'il peut lui offrir .
Le genre fut revisité plusieurs fois . Il existe pas moins de 120 espèces.
Étymologie : du grec koilos ( creux ) et gyne ( femelle) car le stigmate ( sommet du style ) est concave .
Habitat naturel :
Se rencontre dans toute l'Asie du Sud est , l'Inde , l'Indonésie, la Chine, et les iles du Pacifique , à des altitudes variant du niveau de la mer jusqu'à 2600 . certains en forêts chaudes au voisinage de la mer, d'autres en altitude , notamment dans l'Himalaya . Selon les régions et en fonction de cette altitude, les espèces seront de climat froid, tempéré, ou chaud .
Description : épiphytes , litophytes, ou terrestres à végétation sympodiale , dévellepant leurs nouveaux pseudobulbes pendant la saison des pluies , puis subissant une période de repos plus ou moins marquée avant de fleurir .
les inflorescences selon les espèces émergent différemment
1 à partir d'une pousse latérale qui ne donnera ni feuilles ni pseudo bulbes .
2 à l'apex d'un pseudobulbe mature
3 du cœur de la pousse, avant la mise en place des pseudobulbes et des feuilles
4 à la base des pseudobulbes souvent en même temps que les nouvelles pousses les rendant parfois difficiles à identifier .
Les fleurs s'épanouissent en simultané ou successivement avec des coloris s'étalant du blanc au beige , mais aussi vert pâle jaune , ocre , ou marron
Sépales libres , mais parfois soudés à la base, pétales latéraux libres et souvent linéaires. un labelle libre relié à la colonne sans jamais être soudés , et jamais en forme de sac .
De culture facile avec une bonne luminosité en respectant les périodes de repos pour certaines espèces , elles peuvent passer l'été au jardin à l'ombre et pour les espèces froides exp Coelogine cristata ne rentrer qu'après avoir pris la fraicheur c'est à dire des températures avoisinant les 8° au sec
1 espèces Himalayennes
serre foide T° minimales
8°
arrosages réguliers réduits en hiver
2 espèces
Borneo Sumatra
serre froide tempérée froide
arrosages réguliers tte l'année
bonne ventilation
3 espèces de basse ou faible altitude
serre tempérée, chaude
arrosages réguliers réduire lorsque les pseudobulbes sont à maturité
Un pseudobulbe est à maturité lorsqu'il a atteint la grosseur identique ou approchante des anciens .
Pour avoir quelques Coelogyne dans ma collection je peux affirmer que ce sont des plantes faciles séduisantes et souvent parfumées .
La cuisine " des simples " en se rapprochant des produits naturels pour guérir les maux dou-lou- reux des orchidées , sans substance chimique nocives fonctionne très bien , et l'on se rend compte que l'on obtiend de très bons résultats .
Dés lors plus aucunes raisons de s'en priver
Les attaques de champignons ou maladies cryptogamiques se manifestent par des taches visibles sur les feuilles parfois également sur les pseudobulbes , les cannes, en dehors du fait d'être inesthétiques , elles sont dangereuses pour la plante et peuvent aller jusqu'à altérer sa vie .
Elles se manifestent souvent lorsque l'hygrométrie est trop élevée en continu , et qu'il y a un manque d'aération .
Une atmosphère confinée est propice aux développement des champignons .
Moyens de lutte : réduire l'hygrométrie et augmenter l'aération
Pensez les plaies avec de la poudre de cannelle , soit en déposant à l'aide d'un coton tige directement sur la plaie , pensez à protéger la plaie lors des arrosages . ou par brumisation en préparant une solution faite avec :
1 litre d'eau 1 cs de poudre de cannelle
en dernier recours on utilisera les fongicides vendus dans le commerce mais ce ne sera surement pas nécessaire
Les taches foliaires bactériennes
Sont des taches brunes qui s'étalent rapidement on les observe principalement sur les phalaenopsis , lorsque la température nuit est trop fraîche 14° à16°
Moyens de lutte : percer la tache à l'aide d'un cure dent , enlever la partie noire et tamponner les pourtours avec un coton tige trempé auparavant dans de la poudre de cannelle pour la cicatrisation.
Remonter les températures nocturnes aux alentours de 18° 20°
Si la feuille est très atteinte ne pas hésiter à la couper et la bruler. Pulvériser ensuite la plante avec une solution eau + bicarbonate
1litre d'eau 1cs de bicarbonate alimentaire
On se trouve face à des taches circulaires avec des marques en forme d'anneaux sur les feuilles, la teinte des fleurs est modifiée, les pétales peuvent être frangés ou déformés
Heureusement assez rare , mais nécessitant un isolement de la plante
Dans tous les cas il vaut mieux se séparer de la plante plutôt que de risquer la contamination de votre collection même si elle est minime.
les attaques de fumagine
Avant d'aborder les les carences en excès ou en manque on va parler de la fumagine
Elle se caractérise par un dépôt brunâtre sur les feuilles , comme un voile , le champignon responsable de cet état se développe grâce au miellat substance poisseuse secrétée par les cochenilles
Moyens de lutte : Éviter les attaques de cochenilles et c'est là qu'intervient la nécessité de mettre en place un traitement régulier et préventif .
Traitement habituel alcool ménager + savon noir
Il est important de nettoyer le feuillage avec un chiffon humide , pour éliminer le dépôt , et redonner à la plante ses facultés de respiration , et la reprise de ses fonctions d'échanges au niveau des éléments nutritifs et chlorophylliens
Les carences en excès ou en manque
On rencontre des taches vert pâle ou jaune entre les nervures des feuilles , et une croissance ralentie ou stoppée , la plante semble comme figée . S'assurer que l'engrais est suffisament riche en fer
La pointe des feuilles brunie est souvent une conséquence due à l'eau d'arrosage, eau de pluie récoltée sur des réservoirs
Le prochain volet avec les gestes maladroits qui peuvent contrarier nos belles merci de votre fidélité .