Le père de l'Orchidologie John Lindley nomma le genre Laelia d'après l'une des vestales, Laeila ancep. Il l'a décrivit en 1835 dans l 'une de ses formes blanc pur très prisée .
Cette espèce produit des variantes de teintes allant du magenta foncé , au rose lilas pâle.
Devenue rapidement populaire , de nature robuste, sa floraison intervenant au cœur de l'hiver , la voilà sereinement prétendante , pour occuper une place prépondérante et très remarquée au sein des expositions hivernales . Rêve d'Orchidées Vergèze
Au Japon son pays d'origine , Dendrobium monoliforme est connu sous le nom de Sekkoku et en chine Shihu , une chance que nous ayons une appellation beaucoup plus simple.
Ce fut une plante particulièrement chérie dès le XVI siècle , cultivée principalement pour son parfum qui servait à rafraichir les demeures , il était l'apanage de l'aristocratie impériale .
La plante type se décline en blanc, mais de nombreuses formes ont été crées dont certaines ont adoptés des coloris vifs , dans les tons jaunes, roses, et mauves .
Sekkoku " médecine issue du rocher " en référence à l'habitât litophyte de certains et, à sa réputation de prolonger la vie.
Les cattleya sont certainement parmi les orchidées les plus populaires après les phalaenopsis
lorsqu'on parle d'orchidées pour le profane c’est leur image qui est souvent véhiculée.
C. Labiata
Lors de sa floraison en 1818 cette orchidée aux fleurs extraordinairement grandes, aux pétales ondulés , mauve liliacée, et au labelle en forme d’entonnoir à bord dentelé et taché d’or et de rubis fut saluée par Cattley comme la plus splendide de toutes les orchidacées.
Pourtant elle aurait pu ne jamais donner lieu à tant d’éloges
Découverte sur les montagnes Organ prés de Rio de Janeiro pas encore en fleur , elle ne suscita aucun intérêt pour Willam Swainson
Il envoya d’autres plantes brésilienne enveloppées dans les feuilles et les pseudo bulbes de l’orchidée .
Sans la présence d’esprit de W. Cattley et sa curiosité qui le fit mettre en culture ses < déchets > ce magnifique cattleya n’aurait vu le jour
En 1921 John Linné classa cette espèce dans un nouveau genre qu’il nomma cattleya en l’honneur de W.Cattley. et labiata en référence à son remarquable labelle satiné.
Peu de temps après la découverte, l’habitât naturel de l’orchidée fut détruit , à la suite de déforestations et d’implantations de caféiers , elle disparue à la fin des années 1830, pour ne réapparaître qu’en 1891 ( 60 ans )après .
Grâce à Frédérick Sander elle renoua avec l’horticulture pour que Marcel Proust en fasse la fleur préférée d’Odette de Crécy
Dans << du côté de chez Swann >>
Voila pour la petite histoire , elle a sa place dans le monde des Cattleya
Voila pour la petite histoire , elle a sa place dans le monde des Cattleya .
Classification : Epidendroideae , Laeilinae
115 espèces sympodiales épiphytes au niveau des forêts humides, ou litophytes sur les rochers exposés au soleil , les hybrides se comptent par milliers et vont de la plante miniature
Aux grandes fleurs d’une incroyable beauté que l’on pourrait considérer comme extravagantes .
Description :
le pseudobulbe de forme cylindrique , ou en fuseau aplati latéralement , souvent engainé est unifolié ou bifolié (porte à son extrémité une ou deux feuilles )selon les espèces .
L’inflorescence part d’une bractée florale simple ou double , située en apex . Les pétales et sépales sont libres le labelle la pièce maîtresse de la structure florale reste l’atout majeur .
Les boutons floraux sont généralement enfermés dans un fourreau protecteur , qui sèche et se fend pour permettre au bouton de sortir. Il s’écoule 3 à 6 semaines entre l’ouverture et la fanaison d’une fleur de Cattleya.
Culture :
Les cattleya se cultivent en serre tempérées chaudes , ils ont besoin de beaucoup de lumière ,d’arrosages réguliers en période de croissance , à la mise en place des nouvelles pousses ,leurs nombreuses racines de nature fortes ont tendance à déstabiliser les pots , il faudra donc agir en conséquence en prenant soin de bien les caler , à l’occasion d’un rempotage environ tous les 2 ou 3 ans , une division des pseudobulbes sera envisagées, alors on pourra lester le pot avec des graviers au fond avant de continuer l’opération et bien tuteurer la plante .
Un passage en extérieur en période estivale leur fera le plus grand bien. Surtout ne pas se priver de leur beauté
Les photos ayant servies de support pour cet article sont de Jacques Broche
L'univers des Aeranthes est assez exceptionnel leurs fleurs pour le moins originales en forme de petites elfes aériennes , accrochées aux longues tiges semblent se balancer créant l'impression d'un univers surréaliste, tellement léger et apaisant .
Étymologie : Le nom du genre fut composé par John Lindley en 1824 à partir des mots grec aêr < air > et anthos < fleur>en référence à leurs fleurs délicates qui plongent vers le bas .
Habitât naturel : Originaires de Madagascar,des Comodores, des Mascareignes, du Zimbabwe, ils poussent entre 1000 et 1500 mètres dans les forêts humides.
Description : Le genre r essence 45 espèces ,bien que découvert plus d'un siècle auparavant en février 1968 l'orchidéiste regretté Marcel Lecouffle stupéfia le Committee de la RHS en présentant pour la première fois en Angleterre l'extraordinaire Aeranthes henrici "Peyrot "
Outre une certaine étrangeté dans son aspect général, il reste fleuri pendant une ou deux année d'affilée , une ou deux fleurs s'ouvrant à la fois.
Ce genre monopodial épiphytes , parfois lithophytes aux feuilles épaisses assez souples se développe en touffe , l'inflorescence axillaire ,parfois ramifiée est fine souvent pendante, parfois très longue ce qui demande une culture en hauteur , les fleurs semblent alors suspendues dans les airs, comme en plein vol.
Fleurs verte à blanchâtre, souvent translucide au labelle dirigé vers le bas. Sépale dorsal et pétales libres, sépales latéraux soudés le long du pied de la colonne. Labelle dont l'apex est en forme de langue pointue. Un éperon assez court prend naissance au pied de la colonne .
Culture : en serre tempérée chaude avec une forte hygrométrie . Les racines étant assez fines la culture se fait plutôt en petit pot suspendus pour les espèces à hampe pendantes , garni d'un substrat drainant .
Une bonne ventilation, des arrosages réguliers en laissant le substrat sécher entre deux, un apport d'engrais un arrosage sur deux .
Le genre ne demande pas de période de repos
Aeranthes ramosa possède des hampes filiformes de 1 à 2 mètres de haut qui exhibent quelques fleurs successives d'un étrange vert translucide. Il est souvent présent en collection.
Au bout de quelques années de culture il tout à fait possible de séparer des touffes d'Aeranthes pour obtenir plusieurs pieds.
Après deux siècles passés en quête de couleur et de flamboyance, les horticulteurs ont fini par se tourner vers des espèces aux formes élégantes et aux teintes pures, d'où l’intérêt porté à des genres comme les Aerangis dont beaucoup produisent des fleurs à couleur dominante blanc, parfois verdâtre, légèrement saumoné, ou rosé .
Ethymologie : du grec AER ( air ) ANGOS ( vase ) en raison du long éperon contenant le nectar
Habitât naturel : Madagascar , Afrique tropicale , Île de la Réunion Sri Lanka une seule espèce .
Description : plante monopodiale épiphyte vivant près des cours d'eau dans les régions où les pluies sont régulières .
Ce genre est composé d'environ 50 espèces de petites à moyennes taille , aux feuilles coriaces que l'on classe en deux catégories .
Ceux à feuilles et racines fines et tendres qui craignent une trop forte luminosité, parmi eux on y rencontre
A. biloba, A. citrata, A. clavigera, A. luteoalba
Ceux à feuilles épaisses avec de grosses racines , qui exigent beaucoup de lumière , qui ont tendance à se déshydrater rapidement , et par conséquent auront besoin de vaporisation quotidienne .
Exp A. platyphylla, A. cryptodon , A. modesta, A .ellisii
Parmi les tailles modestes voir petites on trouve ces merveilles
Cette petite espèce naine qui nous vient d'Afrique où elle pousse sur des branchettes dans les régions sèches,aux fleurs blanches hivernales, à colonne rouge vif sont grandes par apport à la plante qui ne fait que quelques centimètres.
Tous les Aerangis sont des tempérés chauds, 18° à 30° degrés jour 15° à 25° degrés nuit leur période de floraison est variable suivant l'espèce , assez longue 4 à 6 semaines , presque toujours parfumés dés la tombée de la nuit , leurs effluves capiteuses attirent les papillons de nuit dont la langue à la même longueur que l'éperon assurera la pollinisation.
Le genre ne s'inscrit pas dans des périodes de repos stricte , les arrosages seront réguliers en prenant soin de laisser les pots s’alléger entre deux, l'apport d'engrais une fois sur deux avec pour les Aerangis à feuilles épaisses un passage à une fois sur trois de décembre à fin janvier .
L'hygrométrie restera élevée entre 60% et 80% , mais cultivés dans une ambiance très humide les feuilles ont tendance à se tâcher si la ventilation n'est pas suffisante.
toutes ses espèces sont exquises , quand on admire leur beauté naturelle , il est difficile d'imaginer comment l'hybridation pourrait les améliorer .
Adopter un Aerangis sous entend que d'autres viendront renforcer la collection.
Les cattleya sont certainement parmi les orchidées les plus populaires après les phalaenopsis.
lorsqu'on parle d'orchidées c'est pour le profane leur image qui est souvent véhiculée.
Les floraisons sont attendues comme un événement plein de réjouissances , ce petit hybride qui en est à sa deuxième année de floraison à commencé la mise en place de cet événement dans le courant de l 'été
Le pédoncule se termine par deux boutons qui vont s'épanouir tout deux en même temps dispensant dans l’atmosphère un délicat parfum de jacinthe
coloris tendre , sépales aux bords lisses et pétales blanc rosé légèrement ondulés et ponctués de touches fuchsia .
Le labelle frisotté se distingue par une nuance de jaune canari plus foncé au fond de la gorge et une extrémité fuchsia s'accordant parfaitement avec les touches existant sur les pétales et sépales
Discrète , douce au regard, agréable au parfum ce cattleya mérite bien une attention .
Vous pouvez retrouver les conseils de culture dans sa fiche rubrique
" Généralité & Culture "
à venir la présentation de Gastrochilus bellini merci de votre fidélité
Le but des pratiques culturales est de réaliser autour des orchidées l'ensemble des conditions extérieurs qu'elles rencontrent normalement dans leur station naturelle.
Brassada mivada ( froide )
Cattleya Charles ( Tempéré )
image exposition Abbaye de Fontfroide 2002
Vanda (' chaude )
Tous les facteurs influençant la vie des orchidées doivent être pris en considération.
Ceux dépendant de la zone climatique, du rythme journalier ( jour- nuit ) , de la saison , des températures, de l'humidité.
Les températures optimales sont fonction des zones climatiques dont sont originaires nos orchidées le tableau suivant a pour but de nous aider a pouvoir les classer dans leurs catégories respectives
Serre froide
été période croIssance
hiver période repos
jour
16° - 21°
13° - 16°
nuit
10° - 12°
8° - 10°
Serre Tempérée
16° - 21°
jour
18° - 24°
16° - 21°
nuit
16° - 18°
12° - 16°
Serre chaude
jour
21° - 29°
21° - 29°
nuit
18° - 20°
18° - 20°
Les températures peuvent très bien être inférieures ou supérieures à ces valeurs sans que les plantes en souffrent.
Il est toujours bon d'avoir des points de repères ce petit tableau servira de guide
L'essentiel est que les écarts de températures ayant lieu en été au plus chaud de la journée et l'hiver les nuits de gel ne soient pas trop importants , qu'ils soient exceptionnels et sans être trop prolongés .
La réussite dépens beaucoup des écarts de températures jour / nuit , et la combinaison des éléments température, hygrométrie, ventilation en est le secret.
la maîtrise de ces trois paramètres est indispensable pour un orchidophile débutant elle n'est pas toujours évidente .Une chose est certaine le taux d'humidité ne devrait pas descendre en dessous de 50% , le maintiens entre 65% et 70% semble convenir
Plus la température s’élève , plus l'humidité ambiante doit être importante, et l'inverse est tout aussi valable.
La beauté des orchidées n'est pas le moindre danger auquel elles sont exposées beaucoup de stations ont été détruites, les forêts tropicales sont en danger de mort hélas .
L'Abbaye de Fontfroide ouvrira ses portes pour sa prochaine exposition les
5- 6- 7 octobre
vous y retrouverez des professionnels de l'Orchidée, n'hésitez pas à vous y rendre.
Parmi les premières à être cultivés et à fleurir en serre le groupe des Cattleya et apparentés est le plus important dans la grande famille des orchidées .
A côté des genres naturels Cattleya et laelia
la main de l'homme a su crée des spécimens parfois miniatures comme les Sophrolaeliocattleya qui comprend les Sophronitis aux couleurs vives .
Cattleya Skinneri délicieuse espèce découverte au Guatemala en 1838 Il en existe de plusieurs formes et de différentes couleurs dont le blanc , la couleur pourpre est l'emblème du Costa Rica
Pure merveille que l'on salue
Les Cattleya sont des plantes à feuillage persistant, unifolié ou bifoliés, porté par des pseudobulbes vigoureux , coriaces,ovales et allongés, recouvert d'une fine membrane qu'il ne faut pas perdre de vue elle offre une situation de confort discret aux cochenilles .
La hampe florale naît à l’extrémité des feuilles
Ici au moment de son émergence engainé dans une spathe qui parfois à du mal à céder et qu'in délicatement inciser à l'aide d'un cuter
L'explosion procure toujours une émotion d'émerveillement
Pouvant être extrêmement parfumés ce qui ajoute à leur charme , portant des coloris subtils allant du crème jaune , rouge pourpre , des dégradés de rose et de pourpre qui sont absolument divins
Les Cattleya font de nombreuse alliances Les plus connus sont:
les Sophrolaeilocattleya, ( 3) Sophronitis x Laeila x Cattleya
Les Brassolaeilocattleya ( 3 ) Brassavola x laeila x Cattleya
Laeilocattleya ( 2 ) Laeila x Cattleya
Il est facile de décrypter ( les membres ) de ces alliances leurs noms y figurant , mais quand plus de trois genre s'associent ça se complique un peu pour la nomination . Ainsi les Potinara
Ainsi les Potinara sont le résultat d'une alliance entre (4 ) Brassavola x Cattleya, Laeila, Sophronitis
Alliance complexe mais très réussie avec des plantes résistantes
Les Cattleya et Alliés aiment la lumière , ne vous laissez pas abuser par leur feuillage dur , les rayons du soleil si printanier soit il peut rapidement les brûler
Ils ont une période de dormance qu'il faut bien respecter elle varie suivant les variétés et la période de leur floraison , elle se situe généralement juste après.
La reprise des arrosages et fertilisations intervient au moment où la nouvelle pousse se manifeste. Les nombreuses nouvelles racines qui se développent à la base du pseudobulbe devront faire l'objet d'un soins attentifs tels que brumisations .
Cultivant ce laeila purpurata x Rosco Bispo depuis 10 ans je peut dire que ce sont des plantes qui ne posent aucune difficulté particulière , en ce moment il prépare sa floraison 2018 qui devrait avoir lieu d'ici fin juin
Convenant pour toute une gamme de températures et d'emplacements, illustrant bien l'immense diversité du genre et des espèces les Brassia sont très prisés des orchidophiles à cause de leur facilité de culture , et leur fidélité à refleurir.
Les espèces se caractérisent par d'étroits pétales et sépales finement étirés à partir du centre , extrêmement longs leur ayant valu le surnom d' Orchidées araignées .
Évoluant entre le vert pâle le jaune et le brun parfois nuancé d'orangé, pour les principales teintes.
Le labelle plus court et plus large que le pétales est marqué sensiblement pareil.
. Souvent hybridés avec des Odontoglossum , il en résulte des plantes spectaculaires, vigoureuses, aux couleurs douces .
Ce genre se limite à environ 35 espèces présent en forêt chaude et humide , aussi en forêt sèche mais également en forêt de brouillard c'est dire l'étendue de son implantation
On la retrouve au Mexique , au Nord de l'Amérique du Sud, jusqu'en Guyane et à Cuba à des altitudes pouvant aller jusque à 1200 mètres accrochés aux arbres des bords de criques et de rivière.
On a du mal à résister à une palette de couleur aussi attirante
Le mariage de Brassia brachiata x Ada auriantaca
Ces brassia me sont fidèles depuis de nombreuses années . La hampe florale se met en place lorsqu’ils sont à l'extérieur en période estivale prend son temps pour venir à floraison début d'automne parfois un peu plus tard
En hiver je les met au repos maintenus dans une atmosphère humide tempérée juste quelques brumisations, placés en situation lumineuse, dés la reprise d'une activité végétative je reprend les arrosages et fertilisations.
Hormis les floraisons estivales , les autres orchidées se consacrent à l'émission des nouvelles poussent , à renforcer les pseudobulbes , à reprendre une activité de croissance au niveau des racines et des feuilles.
Dans les régions tempérées , les orchidées qui poussent normalement en appartement , serre ou véranda peuvent parfaitement être placées à l'extérieur.
Ici un tronc d’acacia sert de support étagé à 4 espèces différentes stanhopea en panier, à sa gauche une coelogine qui en une semaine en extérieur émet des hampes; toujours à gauche dans un pot de faisselle Encycia fragrans et enfin 2 dendrobium celui aux larges feuilles dendrobium thyrsiflorum devrait pendant la période estivale émettre des thyrses et offrir sa belle floraison
ici celle de l'an dernier on peut voir à ses c^té le thermomètre afficher pas loin des 30°
la coelogine et ses départs de hampes
l'Encyclia fragrans jeunes pousses er racines bien vertes
Les différences de températures ont des incidences sur les plantes induisant une nouvelle floraison ici sur des Dendrobium nobile on voit les boutons ils seront tout à fait en dehors de leur cycle normal
Les orchidées qui se plaisent à l'extérieur sont des variètès qui aiment la lumière,la fraîcheur , parmi eux les cymbidium , les odontoglossum ( cambria ) encyclia, coelogine , dendrobium, cattleya etc....
Pour ma part toutes profitent de l'extérieur en période estivale, sorties fin mai début juin en évitant les expositions trop ventées , en choisissant un endroit ombragé mais laissant filtrer la lumière, en les protégeant des principaux prédateurs limaces et escargots , en plaçant près d'elles des rondelles de concombre mêt apparemment apprécié des gastéropodes.
ou encore avec un voilage pour la nuit , porte close en mini serre , le principe n'est pas esthétique mais bien de précaution . les autres variétés ne sont pas inquiétées .
les autres variétés ne sont pas inquiétées
une tour de vanda
"Auprès de mon arbre je vivais heureux " ou l'art et la manière pour un acacia de se faire hospitalier . Bonnes vacances aux orchidées .
On les rencontrent dans les jardineries, les grandes surfaces, chez les fleuristes sous l'appellation de Cambria .
En réalité vuylstekeara Cambria Plush est la seule Cambria et se présente de différentes couleurs
Regroupant de multiples hybrides aux noms sonnants et retentissants de Burrageara, Cochlodia, Colmanara, Odontodia, Odontonia, vuylstekerea . Tous ont le même point commun, un des deux parents de ces savants mariages est un Odontoglossum.
Le nom de Cambria a été adopté pour des raisons commerciales de facilité .
Au doux parfum fruité épicé
L'obtention de cette belle plante est le résultat obtenu par une hybridation intergénérique entre Miltonia, Odontoglossom, Brassia, et Cochlodia.
moins courant à trouver en dehors des producteurs
Leurs exigences de culture sont toujours conditionnées par leurs origines géographiques, et tiennent compte d'une bonne maîtrise des paramètres essentiels : luminosité, température hygrométrie, arrosage, fertilisation, ventilation .
Ces rencontres sont des instants de pur bonheur il ne faut pas s'en priver , et ne pas hésiter à les adopter le cas échéant, ni à poser des questions .